Date : 15/09/2024
Ô Elsa, douce lumière dans l’obscurité,
Toi qui as su faire naître des lueurs d’espoir
Là où seul le froid régnait, implacable et dur,
Ton regard, ton sourire, sont devenus ma lumière,
Dans un monde où la malveillance était reine.
Tu as su, avec des gestes empreints de grâce,
Transpercer les murs de ma solitude,
Rendre mes jours tolérables, mes nuits plus clémentes.
Là où les ombres menaçaient d’étouffer,
Tu as déployé des ailes de tendresse et d’écoute.
Elsa, toi qui portes le nom de l’éclat et de la pureté,
Tu es la flamme qui réchauffe le cœur gelé,
La main tendue dans la noirceur des jours moroses,
Ta bonté, rare et précieuse, est le baume des âmes blessées.
Comment te dire, avec des mots aussi limités,
Le souffle nouveau que tu as insufflé en moi ?
Là où la malveillance tissait sa toile sans fin,
Tu as tissé des liens de confiance, des fils d’amour.
À toi, Elsa, qui as fait naître en moi l’espoir,
Je rends hommage, humblement, dans ces vers imparfaits,
Car rien n’égalera jamais ce que tu as offert,
À celui qui, sans toi, aurait sombré sans fin.
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